AUM Biosync

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Engagement citoyen

Une entreprise du numérique engagée dans le monde réel

Avec 20% de ses effectifs sapeurs pompiers volontaires et 20% de gendarmes réservistes opérationnels, AUM BIOSYNC était déjà reconnue entreprise remarquable en matière de RSE par Initiative France, et Partenaire de la défense par la Garde nationale.

Durant le Congrès national des sapeurs-pompiers 2019, nous avons été également récompensés par le label Entrepreneur Engagé du dispositif Terroirs Engagés de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France.

Dans le cadre du partenariat Entreprises-Défense dont l’objectif est d’inscrire la relation entre les entreprises, les armées et les réservistes dans un cadre conventionnel négocié, AUM BIOSYNC s’est engagée à soutenir la politique de la réserve militaire et à l’esprit de défense par l’aménagement des conditions de travail de ses collaborateurs ayant la qualité de militaire réserviste ainsi qu’à maintenir leur salaire durant les périodes de mobilisation.

Aujourd’hui, AUM BIOSYNC est également reconnue comme une « entreprise engagée » par la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France et son dispositif « terroirs engagés » La direction d’AUM BIOSYNC s’est en effet engagée à soutenir l’engagement de ses collaborateurs sapeurs-pompiers volontaires en leur libérant des journées de disponibilité pour toutes leurs formations, ainsi que pour leur activité opérationnelle en journée (journées d’astreinte en télétravail).

Les membres de l’équipe AUM BIOSYNC sont également encouragés à transmettre leurs connaissances et à entretenir une activité d’enseignement au sein d’universités et de grandes écoles. Ils peuvent également participer aux travaux des équipes de laboratoires de recherches reconnus.

Plus largement la direction d’AUM BIOSYNC, permet à ses collaborateurs de s’investir dans tout projet personnel d’engagement citoyen présenté et argumenté à l’équipe dirigeante. AUM BIOSYNC leur procure alors des ressources supplémentaires afin de mieux concilier leurs temps de vie (télétravail des développeurs, agenda personnalisé, congés…).

Durant la crise du COVID 19 et le confinement

Notre culture organisationnelle est fortement empreinte de ces notions d’engagement, c’est donc tout naturellement que nous avons laissé l’ensemble des membres de notre équipe prendre le temps nécessaire à leur engagement auprès de la population pendant la crise COVID et le confinement sur leur temps de travail, qu’ils soient sapeurs-pompiers volontaires, gendarmes réservistes ou médecins.

Plusieurs d’entre nous ne sont pas engagés directement, mais sont conjoints de médecins et de soignants, nous les avons également détachés immédiatement afin qu’ils puissent porter toute la charge liée à la garde de leurs enfants et à l’exercice de leurs responsabilités éducatives et familiales pendant que leur conjoint participait à l’effort collectif.

Nous avons enfin aidé les services incendie qui nous en on fait la demande à réaliser des plans de continuité d’activité assistés par les algorithmes d’OPTEAM, et à analyser les impacts opérationnels de la crise et des procédures associées en matière de variations de performances (délais de départ, fatigue, sollicitation par sapeur-pompier…).

Certains éléments de ces études sont en cours de publications dans des revues scientifiques de référence.

Congrès scientifique Salons et évènements

Congrès de l’association française de chirurgie: organisation du temps de travail et attractivité.

Retrouvez la vidéo de l’intervention de notre CEO Marc Riedel sur l’impact des rythmes biologiques, du sommeil et de la fatigue, lors de la table ronde “organisation du temps de travail” du Congrès 2018 de l’Association Française de Chirurgie – AFC et animée par le Pr. Patrick Pessaux.

Conférence “Organisation du temps de travail” au congrès 2018 de l’Association Française de Chirurgie
Amis et partenaires

Hommage à Michel Marlot, parrain de AUM BIOSYNC

Michel Marlot était le Directeur Départemental du Service d’Incendie et de Secours de Saône et Loire. Il nous aquitté le 23 mars 2017.

Il est parti au moment où nous le regardions rebondir une fois de plus dans sa vie professionnelle.

Ayant pris sa retraite depuis un an il était devenu conférencier « pour le plaisir » et y trouvait de quoi exprimer son sens du spectacle… Je devais intervenir à nouveau avec lui pour les pompiers d’Ile et vilaine, et dans la foulée nous avions rendez-vous pour travailler ensemble sur le projet AUM BIOSYNC qu’il nous encourageait à réaliser, le jour de son enterrement… Ce jour me fut particulièrement difficile à vivre, me sentant frustré, entre les discours officiels d’hommage et l’émotion intérieure chargée de tant de souvenirs…

Comment vous parler de Michel, sans passer à côté de ce qu’il était vraiment ?
Complexité, c’est bien le mot qui désigne le mieux sa personnalité. Il était dans le monde réel à l’égal de ces héros de roman d’aventures que l’on rencontre par hasard lorsque qu’un vieux livre vous tombe sur le pied, et que, curieux, l’on commence à en lire quelques pages sans jamais ne plus pouvoir arriver à le lâcher. Oui, Michel était l’un de ces héros qui sortent du récit et transcendent l’œuvre elle-même, un personnage pour lequel blanc et noir, bien ou mal, n’ont plus vraiment de sens si ce n’est dans le jeu de contraste d’une personnalité vive et espiègle, incarnation du chaos créateur, vecteur d’incidents clownesques, de découvertes pétillantes, de péripéties inattendues, de déséquilibres mobilisateurs, de décisions géniales, d’humbles commencements…

Si certains retiennent l’image institutionnelle du Directeur du Service Départemental d’Incendie et de Secours de Saône et Loire, Michel avait au final plus de la rock-star que du Colonel tel que l’on peut se l’imaginer habituellement. C’était un capitaine de bateau Pirate, charismatique, farceur ingénieux libéré par son impertinence piquante et malicieuse du carcan des règles figées de l’institution, et capable de vous emmener n’importe où sur des océans inconnus et tumultueux.

Michel m’avait confié un jour dans un éclat de rire que son statut social de Directeur était la meilleure blague qu’il avait pu jouer à son institution de tutelle « et je n’en suis pas peu fier » avait-il ajouté avec un large sourire avant de tirer une bouffée sur cette satanée cigarette qui ne le quittait jamais… Il avait été profondément ému lorsque je lui avais raconté qu’il était devenu l’un des héros des histoires que se racontaient au café les jeunes lieutenants à l’école des officiers lors de mes interventions, lui qui, ayant été Directeur de la même école, avait fait une revue des troupes devant un Ministre de l’intérieur en se décolorant les cheveux en blond peroxydé « pour le fun » et qui reste le seul Directeur de Service Incendie au monde à avoir dit « t’as une tâche… Pistache ! » à un préfet de la sécurité civile en exercice.

Ces facéties répétées et son culot époustouflant lui ont entre autre couté d’être démis de ses fonctions de Directeur de l’école des officiers, mais lui ont apporté un crédit important auprès des jeunes recrues et de bon nombre de pompiers de terrain…« J’en ai vraiment pris – plein – la – gueule – , mais, quand on y repense, ça valait tellement le coup, regarde ce que l’on a pu faire depuis… » lâchait-il rêveur…

Pour ces raisons, et malgré un engagement hors norme pour sa profession, Michel était également mis à la marge des cercles autorisés, position périphérique accroissant ainsi sa curiosité, son intérêt pour le monde du « dehors », pour la science, pour l’art, pour la philosophie, pour la pédagogie… Paradoxalement cela accroissait également toute la fécondité de son profil. Il était à la fois dedans, et dehors. Il savait jouer simultanément sur les deux tableaux et ne se gênait pas pour le faire…Privé des ressources allouées aux personnages plus conformes, il avait donc appris tout au long de sa carrière à se débrouiller autrement, à accepter son stigmate d’original, de marginal, à passer les frontières, mais aussi à se défendre et à manier les armes…

Particulièrement redoutable, il savait déployer des compétences dialectiques hors du commun, disposait d’une véritable compétence dans l’utilisation de la parure, la dissimulation de ses propres idées et dans les rites d’interactions sociales, dépassant de loin les compétences des meilleurs vendeurs. J’eus l’occasion de contempler toute sa panoplie au cours de joutes épiques dont j’étais le témoin amusé, devant Préfets, hommes politiques d’envergure, ou universitaires pourtant tous rompus à ce genre de sport. Tout ceci pour protéger une sensibilité hors normes, une émotivité à fleur de peau… Mais le plus surprenant est que Michel savait tout aussi parfaitement jouer des tours pendables aux siens, être particulièrement casse-pieds, invasif, capricieux, et parfois même cruel. C’était peut-être somme toute la part la plus normale de lui-même.

Il avait toutefois pour lui l’honnêteté d’assumer avec un certain humour ses défauts, ses échecs (« Un moment de honte est très vite passé » disait-il souvent) voire même ses plus belles réussites « entre la science et le coup de pot ». Ce qui m’étonne le plus aujourd’hui, c’est de me rendre compte que cette part d’ombre qu’il m’a été maintes fois donnée de subir en serrant les dents et parfois en lui rendant les coups le rendait également unique, vulnérable et… attachant.

Il est important de comprendre l’ensemble de ces traits de caractères entrelacés finement étaient indissociables les uns des autres, et que cela caractérisait Michel dans son ensemble. « Il y a une médaille et il y a toujours son revers, l’une et l’autre vont de concert et sont inséparables » avait-il annoncé le jour de la remise de son ordre du mérite. Et les choses sont bien comme cela, car son profil fascinait tous les aventuriers tout autant qu’il irritait au plus haut point les apôtres de la conformité et les entrepreneurs de morale.

Michel avait toujours une pensée et une sympathie pour ceux ayant des parcours tout aussi originaux et biscornus, qu’il appelait avec affection « les charcutiers-peintres ». Il aimait en avoir autour de lui et je crois qu’il se sentait ainsi rassuré de ne pas être tout seul. C’était là son trait de génie le plus puissant de tous : il savait s’entourer de profils atypiques et profonds, et en tant que manager il se sentait investi d’une sorte de mission pastorale auprès de tous les moutons noirs à cinq pattes qu’il pouvait rencontrer. Tout n’était pas facile au quotidien, mais lorsque Michel était serein, sa compétence aura contribué à créer à plusieurs reprises autour de lui un climat unique, extraordinaire, dans lequel plaisir, innovation, invention faisaient partie du quotidien du service.

Mais cela ne lui suffisait pas. La vie tumultueuse de Michel n’ayant pas pu l’emmener vers la recherche scientifique, dès qu’il en a eu le pouvoir et la latitude, il a fait venir la recherche à lui. Il a réussi à la greffer et la faire se développer de manière étonnante chez les sapeurs-pompiers plusieurs fois dans sa carrière, établissant même un score bibliométrique singulièrement important pour un service incendie, et marquant des innovations durables du métier encore en vigueur aujourd’hui pour tous les sapeurs-pompiers de France…

Michel, je te dois toute ma carrière, mes deux doctorats, de nombreuses engueulades, de franches rigolades, des échanges merveilleux, des moments de pur génie, et peut être simplement mes meilleures années de vie professionnelle, voir de vie tout court jusqu’a aujourd’hui… Je me suis vu tant de fois en reflet dans ton miroir… Je n’arrive toujours pas à réaliser. Je pense à ta famille et à tes proches… A tous ceux avec qui tu as travaillé et à qui tu as allumé une flamme dans les yeux…

Michel, merci pour tout…

Au revoir, vieux renard…
Au revoir, mon ami…
Au revoir, Mon Colonel !

Marc

Engagement citoyen Revue de presse

La société Aum Biosync s’engage pour soutenir les réservistes

La Délégation Militaire Départementale  a organisé fin mai la journée au profit des partenaires de la Défense sur la sensibilisation cyber. Au cours de cette journée a été signée la quinzième convention de soutien à la politique de la réserve en Saône-et-Loire entre la société Aum Biosync basée à Cluny, représentée par son président, Martial Boulesteix, et le délégué militaire départemental de Saône-et-Loire représentant la ministre des Armées, le lieutenant-colonel Luc de Coligny.

 La société “Aum Biosync” qui développe des logiciels de chronobiologie pour améliorer et optimiser la gestion des personnels ayant des activités 24h/24 et 7j/7 (services de secours, services d’urgence d’astreinte, …) a reçu le Trophée du meilleur espoir lors des trophées JSL des Entreprises 2018 en février dernier à Paray-le-Monial.

“Ses dirigeants ont voulu valoriser leurs engagements dans la réserve gendarmerie ou les sapeurs-pompiers volontaires et permettre à leurs salariés de s’engager également jusqu’à 30 jours par an” a expliqué le lieutenant-colonel de réserve Christophe Morizot, Correspondant Réserve Entreprises Défense.

Article de Laurent BOLLET, Journal de Saône et Loire : https://www.lejsl.com/edition-macon/2018/05/29/la-societe-aum-biosync-de-cluny-s-engage-pour-soutenir-les-reservistes

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Le projet

Il y a des rendez-vous que l’on n’a pas le droit de manquer, auxquels il faut être à l’heure, et au maximum de ses capacités…

Les difficiles et coûteux problèmes liés à une activité 24h/24…

Assumer un devoir de fiabilité 24h/24, 7j/7 n’est pas à la portée de tout le monde… Travail de nuit, interruptions de sommeil et conciliation des temps de vie (engagement citoyen, famille, travail, loisirs, repos…) pèsent alors lourd dans la balance en matière de recrutement, d’attractivité, de turnover, de management, de santé, de sécurité et d’organisation de la ressource opérationnelle et de sa résilience.

Nous sommes entrepreneurs, chercheurs, mais également sapeurs-pompiers, médecins, soignants, gendarmes opérationnels… Cette identité originale nous fait faire le constat de l’épuisement des personnes qui ont fait le choix de veiller sur vous, et nous inspire pour proposer de nouvelles solutions.

Nous avons créé AUM BIOSYNC en 2016 pour tenter de résoudre ces problématiques et faire que la protection de la population ne soit plus un sacerdoce intenable, et diminuer le cout humain et financier lié aux obligations de fiabilité d’un travail se déroulant 24h/24, de nuit ou posté.

Notre impact

  • Faciliter et fiabiliser le recrutement de profils ciblés (ex. : évaluation de la tolérance au travail de nuit, des disponibilités réelles)
  • Faciliter l’astreinte et la conciliation des temps de vie (ex. : vie de famille, vie professionnelle, loisirs, sommeil)
  • Œuvrer pour l’égalité femme homme sous l’angle de la conciliation des temps de vie
  • Prévenir les risques, les maladies et accidents liés à une activité 24h/24.
  • Manager la performance et la disponibilité de la ressource humaine en tenant compte de la fatigue des effectifs et du risque d’accident.
  • Optimiser la capacité opérationnelle et la résilience des équipes de manière prédictive.

Nos applications intéressent également le secteur hospitalier public et privé, le secteur du transport et de la logistique, de la grande distribution, de l’industrie à feu continu, et plus largement les domaines où l’impact des rythmes biologiques est maximal (horaires atypiques, travail de nuit, sommeil, fatigue, haut devoir de fiabilité, hautes performances…)

Innovation ou tradition ?

AUM BIOSYNC est, juridiquement parlant, une jeune entreprise innovante. Plus de 50% du temps de travail total de son équipe est consacré à la recherche et au développement. Mais AUM BIOSYNC ne revendique pas pour autant l’innovation comme une valeur ou une fin en soi.

L’engagement opérationnel des membres de l’équipe leur rappelle au quotidien que leurs clients ont charge d’âmes. Face à ces enjeux, et en tant que scientifiques, ils sont conscients que les années d’expérience et le regard qu’elles procurent sur les situations opérationnelles ne peuvent pas se remplacer par un algorithme.

AUM BIOSYNC préfère mettre en avant l’impact métier et le respect de l’expérience de terrain qui fonde sa technologie souveraine. L’équipe AUM BIOSYNC l’a conçue pour prolonger le bras sans remplacer le cerveau, sans dérober l’attention que ses clients doivent porter aux victimes ou aux malades dont ils ont la charge, sans dégrader la conscience de situation opérationnelle, sans mettre en jeu leur sécurité ni celles de leurs données à caractère personnel…

« La véritable tradition n’est pas de refaire ce que les autres ont fait, mais de retrouver l’esprit qui a fait ces grandes choses et qui en ferait de toutes autres en d’autres temps. »

Paul Valéry